"Mais c'est plus tôt, le film beaucoup moins avancé, qu'il l'invite à venir avec lui vers les confins de la ville. On marche le long de murs interminables. La lumière est celle du début des années soixante, près des fleuves. Après tout, c'est sa tante. Mais est-ce la même qui dira plus tard combien l'avenue était gaie, dans sa jeunesse à elle, que chaque jour on regardait du haut des murs qui revenait des courts avec qui, que les couples se faisaient, se défaisaient, et que chacun se connaissait ?"
Gino Paoli canta Il Cielo in una stanza (testo e musica di Gino Paoli (1960))
Quando sei qui con me
questa stanza non ha più pareti
ma alberi,
alberi infiniti,
quando sei qui vicino a me
questo soffitto viola
no, non esiste più.
Io vedo il cielo sopra noi
che restiamo qui
abbandonati
come se non ci fosse più
niente, più niente al mondo.
Suona un’armonica
mi sembra un organo
che vibra per te e per me
su nell’immensità del cielo.
Per te, per me :
nel cielo.
Le Ciel dans une chambre
Quand tu es près de moi,
il n'y a plus de murs dans cette chambre
mais des arbres,
des arbres dont on ne voit pas la cime,
quand tu es près de moi
ce plafond violet
n'existe plus.
Je vois le le ciel au-dessus de nous,
qui sommes là,
abandonnés,
comme si plus rien n'existait
dans ce monde.
Quelqu'un joue de l'harmonica
et on dirait un orgue
qui résonne pour toi et pour moi,
là-haut dans l'immensité du ciel.
Pour toi et pour moi :
dans l'immensité du ciel.
(Traduction personnelle)
questa stanza non ha più pareti
ma alberi,
alberi infiniti,
quando sei qui vicino a me
questo soffitto viola
no, non esiste più.
Io vedo il cielo sopra noi
che restiamo qui
abbandonati
come se non ci fosse più
niente, più niente al mondo.
Suona un’armonica
mi sembra un organo
che vibra per te e per me
su nell’immensità del cielo.
Per te, per me :
nel cielo.
Le Ciel dans une chambre
Quand tu es près de moi,
il n'y a plus de murs dans cette chambre
mais des arbres,
des arbres dont on ne voit pas la cime,
quand tu es près de moi
ce plafond violet
n'existe plus.
Je vois le le ciel au-dessus de nous,
qui sommes là,
abandonnés,
comme si plus rien n'existait
dans ce monde.
Quelqu'un joue de l'harmonica
et on dirait un orgue
qui résonne pour toi et pour moi,
là-haut dans l'immensité du ciel.
Pour toi et pour moi :
dans l'immensité du ciel.
(Traduction personnelle)
Pour la petite histoire, et selon les dires de l'auteur lui-même, la chambre dont il est question dans cette chanson est celle d'un bordel de Gênes (d'où le plafond violet), et elle a été écrite pour une prostituée qui travaillait dans ce bordel...


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