Giuni Russo chante La sua figura, une chanson inspirée par quelques strophes du Cantique Spirituel de Saint Jean de la Croix. Les paroles et la musique sont de Giuni Russo et Maria Antonietta Sisini.
L'estate appassisce silenziosa
Foglie dorate gocciolano giù
Apro le braccia al suo
declinare stanco
E lascia la tua luce in me
Stelle cadenti incrociano i pensieri
I desideri scivolano giù
Mettimi come segno sul tuo cuore
Ho bisogno di te
Sai che la sofferenza d'amore non si cura
Se non con la presenza della sua figura
Baciami con la bocca dell'amore
Raccoglimi dalla terra come un fiore
Come un bambino stanco ora voglio riposare
E lascio la mia vita a te
Tu mi conosci non puoi dubitare
Fra mille affanni non sono andata via
Rimani qui al mio fianco sfiorandomi la mano
E lascio la mia vita a te
Sai che la sofferenza d'amore non si cura
Se non con la presenza della sua figura
Musica silenziosa è l'aurora
Solitudine che ristora e che innamora
Come un bambino stanco ora voglio riposare
E lascio la mia vita a te
L'été se fane en silence
Des feuilles dorées tombent comme des gouttes
J'accueille les bras ouverts son crépuscule las
Qui laisse ta lumière en moi
Des étoiles filantes croisent des pensées
Les souhaits glissent lentement
Pose-moi comme un signe sur ton cœur
J'ai besoin de toi
Tu sais que la douleur d'amour ne peut être guérie
Sinon par la présence de sa figure
Embrasse-moi avec les lèvres de l'amour
Cueille-moi comme si j'étais une fleur
Comme un enfant épuisé je veux maintenant trouver le repos
Et je t'abandonne ma vie
Tu me connais et tu ne peux pas douter
J'ai su faire face à des milliers d'angoisses
Reste près de moi en effleurant ma main
Et je t'abandonne ma vie
Tu sais que la douleur d'amour ne peut être guérie
Sinon par la présence de sa figure
Musique silencieuse de l'aurore
La solitude qui apaise et qui enchante
Comme un enfant épuisé je veux maintenant trouver le repos
Et je t'abandonne ma vie
Images : (1) Daniele Badini (Site Flickr)
(2) Adriano Faggiano (Site Flickr)
(3) Andrea Mantegna Madonna col Bambino dormiente (1465-1470)
Une autre version en duo avec Franco Battiato
Parfois la douceur du passé tout entière est comme dans l’œil du cyclone au cœur des mauvais jours. On y goûte calme et confiance loin des déchirures et des haines.
RépondreSupprimerUne fraîcheur d'aube et l'inouï du silence. Là où fleurit un rameau improbable d'olivier.