Franco Battiato canta Era d'estate (Testo e musica : Sergio Endrigo, 1963) :
Era d’estate e tu eri con me
Era d’estate tanto tempo fa
Ora per ora noi vivevamo
Giorni e notti felici senza domani
Era d’autunno e tu eri con me
Era d’autunno poco tempo fa
Ora per ora senza un sorriso
Si spegneva l’estate negli occhi tuoi
Io ti guardavo e sognavo una vita
Tutta con te
Ma i sogni belli
Non si avverano mai
Era d’estate e tu eri con me
Era d’estate poco tempo fa
E sul tuo viso lacrime chiare
Mi dicevano solo addio
Era d’estate tanto tempo fa
Ora per ora noi vivevamo
Giorni e notti felici senza domani
Era d’autunno e tu eri con me
Era d’autunno poco tempo fa
Ora per ora senza un sorriso
Si spegneva l’estate negli occhi tuoi
Io ti guardavo e sognavo una vita
Tutta con te
Ma i sogni belli
Non si avverano mai
Era d’estate e tu eri con me
Era d’estate poco tempo fa
E sul tuo viso lacrime chiare
Mi dicevano solo addio
C'était en été et tu étais avec moi
C'était en été, il y a bien longtemps déjà
Heure après heure, nous vivions
Des jours et des nuits heureux sans lendemain
C'était en automne et tu étais avec moi
C'était en automne, il n'y a pas si longtemps de cela
Heure après heure, sans un sourire
L'été s'éteignait dans tes yeux
Je te regardais et rêvais d'une vie entière
Auprès de toi
Mais les beaux rêves
Ne se réalisent jamais
Heure après heure, nous vivions
Des jours et des nuits heureux sans lendemain
C'était en automne et tu étais avec moi
C'était en automne, il n'y a pas si longtemps de cela
Heure après heure, sans un sourire
L'été s'éteignait dans tes yeux
Je te regardais et rêvais d'une vie entière
Auprès de toi
Mais les beaux rêves
Ne se réalisent jamais
C'était en été et tu étais avec moi
C'était en été, il n'y a pas si longtemps de cela
Et sur ton visage des larmes limpides
Me disaient simplement adieu
C'était en été, il n'y a pas si longtemps de cela
Et sur ton visage des larmes limpides
Me disaient simplement adieu
quelle douceur dans ce qui précéda l'adieu dans ce souvenir...
RépondreSupprimer"Quand l'ombre est rouge, sous les roses,
RépondreSupprimerEt clair le temps,
Prends garde à la douceur des choses,
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton cœur trop lourd,
Et que se taisent les colombes :
Parle tout bas, si c'est d'amour,
Au bord des tombes."
"Ici
RépondreSupprimertoute la terre
se repose de sa fécondité
et tout son bonheur est tendu entre
deux gazelles et deux nuits
distants à peine d'un pli dans la lumière
et le défi tranquille
de l'horizon imprenable.(202)
Sol absolu - Lorand Gaspar