"C'est ainsi qu'un jour, par hasard, nous nous rappelons tant de visages, tant de choses, mais il n'y a plus personne pour se souvenir de nous, et nous sommes encore vivants."
Angelo Rinaldi La dernière fête de l'Empire Editions Gallimard, 1980
"Ed è così che un giorno, per caso, ripensiamo a tanti visi, a tante cose, ma non c'è più nessuno che si ricordi di noi, mentre noi siamo ancora vivi."
(Traduzione : Roberta Ferrara)
Terrible... mais Angelo Rinaldi semble ne pas avoir gardé de bons souvenirs de la ville de son enfance, Bastia...
RépondreSupprimerPourtant
Magnifiques photographies de Bastia (Site Flickr de Marie), cette ville un peu farouche et si belle.
La chanson de César Vezzani achève la tableau, juste sur ce fil de solitude au milieu de la foule des visages de brume que nous avons aimés...
je souris, ce sont des lieux qui me sont ... familiers... je vagabonde sur le site, je souris beaucoup et m'émerveille, grazie
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