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jeudi 24 octobre 2013

L'Ombre s'enfuit...



"La tristezza durerà per sempre." 





 








Images : en haut et au centre : Jean-Damien Guichard (Site Flickr)

en bas, Site Flickr




8 commentaires:

  1. "Vino ? fece il professore perplesso. – Io non so questo bambino come veda i colori : come se ancora non li conoscesse. A voi sembra colore di vino questo mare ?

    – Non so : ma mi pare ci sia qualche vena rossastra, disse la ragazza.

    – L'ho sentito dire, o l'ho letto da qualche parte : il mare colore del vino, disse l'ingegnere.

    – Qualche poeta l'avrà magari scritto, ma io un mare colore del vino non l'ho mai visto, disse il professore. E a Nenè spiegò : – Vedi : qui sotto, vicino agli scogli, il mare è verde ; più lontano è azzurro, azzurro cupo.

    – A me sembra vino, disse il bambino, con sicurezza.

    – È daltonico, sentenziò il professore."

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  2. Se ricordo bene, lo era anche Ulisse...

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  3. "Un jour la mort voluptueuse
    lui ouvrit les portes du plaisir,
    pour toujours."
    Umberto Saba
    (trad. N. Castagné)

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  4. Cette mélodie de l'étude n° 3 de Chopin aura inspiré tant de créations, ici Tino Rossi (magnifique) et la plus étrange composition de S.Gainsbourg (Limon Inceste)... Oui, de la tristesse, comme une chanson de l'adieu mais aussi de non-renoncement à l'aimée. Superbes vacillements de la lumière sur la mer qui s'enfonce dans la nuit. Heure magique des anges, des elfes, des lucioles, des grillons. Une étoile naît, puis une autre. La lune se dévoile dans toute sa splendeur féminine. C'est le temps des secrets murmurés...

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  5. C'est très beau, chère Christiane ; toutefois il ne s'agit pas ici d'un crépuscule mais plutôt d'une aube dans la baie d'Ajaccio, d'une aurore, comme dit la chanson de Tino : l'ombre s'enfuit, emportant avec elle les secrets murmurés dans la nuit trop brève... Bonjour, tristesse !

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  6. Ah, merci ! Je percevais l'arrivée du soir dans ces belles photos, dans le texte de la chanson et dans cette étude de Chopin. Pourtant il dit "la nuit fut brève". Vous avez raison... Maintenant, les regardant à nouveau, je vois aussi le soleil se lever et lancer ses premiers rayons (non les derniers...). Alors parlons de... crépuscule puisque ce mot ouvre le matin ou la nuit... et une goutte d'espérance pour la fin de la chanson. La douleur liée à la douceur, encore et l'amour à la mort. Cette blessure... comme le chantait le grand Léo Ferré :
    "Cette blessure
    Où meurt la mer comme un chagrin de chair..."

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