Testo : M. Sgalambro, F. Battiato et C. Wieck
Musica : F. Battiato, 2004
Quello che c’è ciò che verrà
ciò che siamo stati
e comunque andrà
tutto si dissolverà
Nell’apparenza e nel reale
nel regno fisico o in quello astrale
tutto si dissolverà
Sulle scogliere fissavo il mare
che biancheggiava nell’oscurità
tutto si dissolverà
Bisognerà per forza
attraversare alla fine
la porta dello spavento supremo
Ce qui est, ce qui sera
ce que nous avons été
et quoi qu'il advienne
tout se dissoudra
Dans l'apparence et dans la réalité
dans le règne physique ou astral
tout se dissoudra
Sur les rochers je fixais la mer
qui blanchissait dans l'obscurité
tout se dissoudra
Il faudra forcément
franchir à la fin
Images : en haut, Jonathan (Site Flickr)
en bas, Federica Andreone (Site Flickr)
Oui, il ne restera rien, pas même le souvenir du rien, et l'oubli lui-même, anéanti.
RépondreSupprimerQu'est-ce qui s'oppose à l'oubli, à ses ténèbres, à son obscurité ? La lumière. Rester dans la clarté de l'amour, dans son mystère.
RépondreSupprimerC'est ça la lutte : la part de clarté perdue en nous-même
Supprimerou encore clarté de tous les pays, unissez-vous.
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