"Noi, dolce parola.
Noi credevamo..."
Addio, mia bella, addio (1848, attribuito a Carlo Alberto Bosi)
Addio mia bella addio,
che l’armata se ne va,
e se non partissi anch’io
sarebbe una viltà.
Il sacco è preparato,
il fucile l’ho con me,
ed allo spuntar del sole
io partirò da te.
Ma non ti lascio sola,
ma ti lascio un figlio ancor.
Sarà quel che ti consola :
il figlio dell’amor.
Adieu, ma belle, adieu...
Adieu, ma belle, adieu,
car la troupe s'en va,
et si je ne partais pas moi aussi
ce serait de la lâcheté.
Mon sac est prêt,
j'ai mon fusil avec moi,
et quand le soleil se lèvera
je partirai loin de toi.
Mais je ne te laisse pas seule,
un fils reste avec toi.
Il sera celui qui te console :
le fils de notre amour.
Poème-chanson bienvenu en ces jours de commémoration de fin des guerres (celle de 14-18 et la suivante). des hommes sont partis à la guerre en 14 et n'en sont pas revenus. ce poème me fais penser à la chanson de Craonne. Tous ces morts, cette boucherie. Pourquoi ? Quant à la suivante, ce sont encore les populations civiles qui ont souffert à l'arrière des fronts. Et parfois, nulle épouse, nul enfant laissés au pays mais tous embarqués vers un destin funeste à bord de wagons de bestiaux.
RépondreSupprimerPuis, on pense aux autres guerres offensives et défensives passées ou actuelles. A tous ces morts que des proches pleurent.
Merci Christiane !
Supprimer...e buona festa della Repubblica a tutti gli amici italiani !