La Premiata Forneria Marconi (PFM) canta Impressioni di settembre (Impressions de septembre) (Mogol e Mauro Pagani – Franco Mussida, 1971) :
Quante gocce di rugiada intorno a me
cerco il sole, ma non c'è.
Dorme ancora la campagna, forse no,
è sveglia, mi guarda, non so.
Già l'odor di terra, odor di grano
sale adagio verso me,
e la vita nel mio petto batte piano,
respiro la nebbia, penso a te.
Quanto verde tutto intorno, e ancor più in là
sembra quasi un mare d'erba,
e leggero il mio pensiero vola e va
ho quasi paura che si perda...
Un cavallo tende il collo verso il prato
resta fermo come me.
Faccio un passo, lui mi vede, è già fuggito
respiro la nebbia, penso a te.
No, cosa sono adesso non lo so,
sono un uomo, un uomo in cerca di se stesso.
No, cosa sono adesso non lo so,
sono solo, solo il suono del mio passo.
E intanto il sole tra la nebbia filtra già
il giorno come sempre sarà.
Toutes ces gouttes de rosée autour de moi
je cherche le soleil, mais il n'est pas là.
La campagne dort encore, ou peut-être pas,
elle s'est réveillée et me regarde, je ne sais pas.
Déjà l'odeur de la terre, odeur de blé,
monte lentement vers moi,
et la vie bat doucement dans ma poitrine,
je respire la brume, je pense à toi.
Tant de vert tout autour, et encore plus loin
l'herbe est comme une mer,
et mes pensées légères s'envolent et s'en vont
j'ai presque peur qu'elles se perdent...
Un cheval se retourne vers le pré
il reste immobile comme moi.
J'avance d'un pas, il me voit, il s'est enfui déjà,
je respire la brume, je pense à toi.
Non, je ne sais pas ce que je suis en cet instant,
je suis un homme, un homme à la recherche de lui-même.
Non, je ne sais pas ce que je suis en cet instant,
je suis un homme, un homme à la recherche de lui-même.
Non, je ne sais pas ce que je suis en cet instant,
je suis seul, il n'y a que le bruit de mes pas.
Et dans la brume le soleil perce déjà
cette fois encore le jour se lèvera.
(Traduction personnelle)
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