tag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post1146491315182621246..comments2023-04-11T11:23:20.643+02:00Comments on Fine Stagione: Un violoniste (2)Emmanuel F.http://www.blogger.com/profile/05994012637853296558noreply@blogger.comBlogger7125tag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-695750133057818902013-10-23T09:28:31.525+02:002013-10-23T09:28:31.525+02:00Comme c'est étrange ce lien... Oui, je me souv...Comme c'est étrange ce lien... Oui, je me souviens d'une... double émotion...<br />"Le pays du mélodrame" y gagne en profondeur. Cette suite de portraits est étonnante. Pour ces deux-là (du jour) je ne peux oublier certains visages des portraits de Goya et Brueghel vus à la Pinacothèque de Paris (exposition actuelle). Trognes sidérantes laissant luire une âme... Je relis... d'étonnantes images comme celle-ci : "Puis le morceau s’achevait parmi les soupirs et les harmonies, et Migliavacca, catapulté sur un divan, coulait glorieusement à pic sous les étreintes et les caresses de ces prostituées."...christianehttps://www.blogger.com/profile/15797242137586953486noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-20020008028619421152013-10-23T08:14:21.636+02:002013-10-23T08:14:21.636+02:00Le (1) est ici.Le (1) est <a href="http://finestagione.blogspot.fr/2013/10/un-violonista-un-violoniste.html" rel="nofollow">ici.</a>Emmanuel F.https://www.blogger.com/profile/05994012637853296558noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-10405118906267415712013-10-22T23:43:10.927+02:002013-10-22T23:43:10.927+02:00Ouah, vous êtes savant ! merci. Je comprends mieux...Ouah, vous êtes savant ! merci. Je comprends mieux. Et pourquoi (2) après le titre "un violoniste" ? Où est le (1) ?<br />Comme l'écrit Silvano : blog magnifique !<br />christianehttps://www.blogger.com/profile/15797242137586953486noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-25229983056716217302013-10-22T22:01:46.959+02:002013-10-22T22:01:46.959+02:00La parataxe est l'utilisation fréquente dans l...La parataxe est l'utilisation fréquente dans la phrase de propositions ou de groupes de mots juxtaposés, sans les charnières logiques que constituent les conjonctions de coordination ou de subordination. Cela donne à la phrase une certaine fluidité mais un aspect parfois elliptique qui peut être déconcertant et un peu déstabilisant pour le traducteur...Emmanuel F.https://www.blogger.com/profile/05994012637853296558noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-47181960689582029292013-10-22T20:25:31.768+02:002013-10-22T20:25:31.768+02:00Magnifique Emmanuel pour votre regard et sur le te...Magnifique Emmanuel pour votre regard et sur le texte et sur la Traviata. Qu'est-ce que la parataxe qui vous fait faire des acrobaties dans la traduction ?christianehttps://www.blogger.com/profile/15797242137586953486noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-28651297286555415912013-10-22T18:37:38.315+02:002013-10-22T18:37:38.315+02:00J'aime aussi beaucoup ce texte, qui n'a pa...J'aime aussi beaucoup ce texte, qui n'a pas été facile à traduire : le style de Barilli se caractérise par un usage fréquent de la parataxe, ce qui rend la traduction très acrobatique, sans que l'on soit toujours certain d'être vraiment retombé sur ses pieds ! Je ne saurais pas l'expliquer clairement, mais il me semble percevoir dans ce texte une tonalité baudelairienne, dans ce contraste entre le vulgaire et le sublime que vous soulignez. <br /><br />Le renoncement de la Traviata est en effet bien mystérieux : on rêve parfois en voyant l'opéra qu'elle envoie promener ce vieux barbon hypocrite de Georges Germont à qui elle rend trop facilement les armes. Elle sait aussi à ce moment-là qu'elle est malade, et sans doute condamnée : peut-être faut-il aussi chercher de ce côté-là les raisons de son sacrifice... En tout cas, Verdi lui offre dans le dernier acte une musique si grandiose que l'on ne peut que se demander au moment où le rideau tombe, comme dans les Épitres : "Mort, où est ta victoire ?" Emmanuel F.https://www.blogger.com/profile/05994012637853296558noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4741591642224587635.post-2345081057857574282013-10-22T17:58:38.432+02:002013-10-22T17:58:38.432+02:00Un texte fascinant, truculent et pittoresque, du t...Un texte fascinant, truculent et pittoresque, du tragique aussi par cette passion de la musique qui enchante toutes ces scènes. Photographies d'une belle rigueur et d'une grande poésie. La vérité réside là, dans ce contraste que du vulgaire puisse naître tant de beauté. Alors on se prend à se priver des yeux pour regarder la grande beauté intérieure et ce ravissement du violoniste en extase au poulailler du Teatro regio. La Traviata...(la dévoyée...).Violetta... La dame aux camélias... Verdi l'immortalisa. Évocation par cette photo de l'interprétation de Maria Callas, si émouvante et magistrale dans ce rôle. Drame cruel et sublime... Pourquoi renonça-t-elle à l'amour ? La courtisane se cacha pour mourir quand la passion lui donna une raison de vivre...<br />"UN AMOUR VRAI, POUR MOI, SERAIT-IL UN MALHEUR ?<br />QUE RÉSOUS-TU, Ô MON ÂME TROUBLÉE ?<br />NUL HOMME ENCORE NE T’AVAIT ENFLAMMÉE... Ô JOIE<br />QUE JE N’AI PAS CONNUE : ÊTRE AIMÉE EN AIMANT ! »<br />VIOLETTA , LA TRAVIATAchristianehttps://www.blogger.com/profile/15797242137586953486noreply@blogger.com